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Community manager : Amélie ou la « reconversion-bonheur »

Publié le 15 avril 2021 - Mis à jour le 14 novembre 2023

Quel sourire dans sa voix quand elle évoque sa nouvelle voie ! Amélie, 27 ans, a un diplôme en Ressources Humaines, de nombreuses expériences professionnelles en tant qu’Assistante administrative et pourtant l’envie féroce de changer radicalement de vie en devenant cette fois Community manager. Alors, instable Amélie ? « Non, je suis simplement déterminée à vivre en harmonie avec mes valeurs et à m’épanouir aussi dans mon job », répond-t-elle.

Cest du côté de Montauban, dans le département du Tarn-et-Garonne (82) que nous retrouvons aujourd’hui Amélie, 27 ans, jeune maman et « diplômée en devenir » de l’IFOCOP, puisque sa période d’application en entreprise a débuté il y a quelques semaines seulement. Mais même avant l’heure du bilan, elle le sait, l’expérience est déjà ultra-positive. La raison de cette certitude : Amélie compte sur elle seule pour se faire l’artisan de son propre bonheur. Et l’échec n’est pas une option. « J’ai choisi de me reconvertir et de me former avec IFOCOP alors que mon précédent diplôme ne remonte pourtant qu’à 2014 parce que ma courte expérience professionnelle m’avait déjà ouvert les yeux sur une chose : je faisais fausse route en tant qu’assistante administrative et ressources humaines. Ce métier ne correspondait ni à ma personnalité, ni à mes attentes», explique Amélie. Lasse, par ailleurs, de se faire qualifier d’« instable » par les recruteurs dubitatifs devant son CV en gruyère, elle se met en recherche d’un nouveau chemin, d’un métier « plus stimulant » où s’épanouir. Ce sera Community manager, un poste qu’elle a déjà exercé de manière un peu expérimentale en tant que bénévole pour un club de rugby de sa région. Mais sans imaginer se laisser prendre au jeu…

Le bébé qui déclenche tout

« Ma grossesse a agi sur moi comme un déclencheur », se souvient Amélie. A l’approche de cette naissance, elle remet en question ses priorités. Trop de gens autour d’elle dédient leur vie à un emploi qui les tue à petit feu, les déprime, les stresse… Elle aussi a déjà pu expérimenter cette détresse dans ses précédentes expériences professionnelles. Sans parler de l’instabilité des CDD et missions d’intérim à répétition… Amélie confie dans le même temps être en recherche de stabilité financière et professionnelle. La recherche d’une entreprise s’impose… « Mais pas n’importe laquelle et surtout pas à n’importe quel prix », nous interrompt-elle, précisant : « Le critère le plus important à mes yeux, c’est la qualité de vie professionnelle. Être bien, quand on rentre chez soi parce qu’on a passé une bonne journée et qu’on a été utile à quelque chose. Et y retourner le lendemain avec le sourire aux lèvres et sans la boule au ventre ». Bref, l’inverse de ce qu’elle a connu par le passé.

Pourquoi Community manager ?

Pourquoi alors, se tourner vers le métier de Community manager qui, s’il n’est pas dépourvu d’intérêt, comporte lui aussi des inconvénients propres à la fonction ? « Je ne suis pas naïve, je sais qu’il n’existe aucun métier parfait, mais l’important est de choisir celui qui correspond à son profil », répond Amélie, qui citera la créativité, le fun, et la forte part de challenge dans ce nouveau métier qu’elle s’est choisi. « L’humain, aussi », complète-t-elle. « Je recherchais un poste qui me permettrait à la fois d’écrire, de créer, de partager. Mon imagination débordante et mon aisance relationnelle peuvent être des atouts pour fédérer une communauté et mettre en place de nouveaux projets. Ce sont en partie ces raisons, et une expérience concluante au sein de ce club de rugby, qui m’auront convaincue du bienfondé de cette reconversion », analyse la jeune femme. « J’apprécie par-delà le fait que ce soit un métier nouveau, en perpétuelle évolution, accessible dans des entreprises orientées vers la modernisation. Ces dernières offrent généralement la possibilité de laisser libre cours à notre imagination. C’est exactement cet environnement au sein duquel je souhaite évoluer », confie Amélie.

Un discours sincère qui semble avoir trouvé un bel écho puisque sa période d’application en entreprise, elle la passera dans 2 entreprises en même temps ! 50% au sein d’un cabinet d’expertise comptable, 50% pour le compte d’un centre de formation en esthétique. Et pour chacune de ces entreprises, des stratégies éditoriales et des objectifs totalement différents : notoriété, benchmark, publicité… Amélie devient force de conseil et ses maîtres de stage attendent d’elle qu’elle soit créative. Que demander de plus ? Elle a déjà réussi.

Découvrez son témoignage, posté sur les réseaux sociaux :

« J’ai réussi ✨

Après 6 longues années de remise en question, j’ai enfin su prendre en main mon avenir professionnel 😁

J’ai entendu souvent : « vous avez connu de nombreuses entreprises et périodes d’inactivité, ce n’est pas signe de stabilité ». Effectivement, je pensais que changer d’entreprise serait la preuve de ma polyvalence et surtout me permettrait de trouver un environnement de travail dans lequel je me sentirais mieux.

Pourtant je ne supportais plus cette incertitude quant à mon avenir professionnel. Par chance, un heureux événement personnel a bousculé ma vie.

J’ai commencé ma formation de #communitymanager en octobre 2020, et je ne regrette pas une seconde ma #reconversion. Depuis bientôt un mois je réalise ma période de mise en application au sein des entreprises #Sodecal et Beauté Concept Formation. Pour la première fois en 6 ans, j’ai une (et même deux) équipe(s) au top et je suis bien contente d’aller travailler (comme quoi tout est possible 😀) ! Un grand merci à Claire Herlidou et Barbara Servant pour leur accueil), ainsi qu’à l’équipe de l’#IFOCOP 🙏

À toutes celles et ceux qui doutent et ont peur, trouvez le courage d’essayer, vous ne le regretterez pas 🤞 »

 

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