Un mot sur ActivPayroll France, pour commencer.
Cette société, qui propose la gestion de paie et l’assistance RH dans 150 pays (avec une présence directe dans une dizaine d’entre eux) navigue entre deux univers : celui de la paie, résolument « franco-français », et celui de ses clients globaux, résolument anglophones.
« 90% de nos réunions se déroulent donc en anglais », précise d’emblée Hamza, indiquant que ce facteur linguistique est un critère apprécié chez ses futurs talents. Mais sur ce sujet, son point de vue est très cartésien. « Soit on parle l’anglais, soit on a l’envie d’apprendre. Et pour moi, les deux se valent. Raison pour laquelle nous proposons des cours hebdomadaires permettant à nos collaborateurs de devenir bilingues en l’espace de deux ou trois ans », explique-t-il, arguant que cette exigence linguistique n’est pas un frein mais un tremplin de carrière, ici… ou ailleurs. Discours surprenant. Pas pour ce manager moderne qui cite volontiers un dicton allemand – « Ce qui ne bouge pas est mort » – illustrant que l’immobilisme n’a pas sa place dans son secteur.
Avant d’arriver jusqu’ici, avant même de franchir la porte d’ifocop pour la toute première fois, les apprenants ont fait un énorme travail sur eux-mêmes. Certains auront même parfois entrepris de faire un bilan de compétences avant de postuler. Ils sont généralement à un moment de leur vie où les choses sont plus claires pour eux. Leur mantra, c’est JE VEUX, pas JE VAIS faire ça »
La motivation avant tout
« Je fais partie de ces dirigeants qui pensent qu’on peut quasiment tout apprendre, sauf la motivation », affirme-t-il sans détour. C’est précisément cette qualité qu’il recherche chez les apprenants ifocop. « Avant d’arriver jusqu’ici, avant même de franchir la porte d’ifocop pour la toute première fois, ces personnes ont fait un énorme travail sur elles-mêmes. Se reconvertir, ça ne se fait pas à la hâte. C’est une décision mûrement réfléchie, parfois à l’issue d’un évènement éprouvant comme un licenciement économique. Certains auront même parfois entrepris de faire un bilan de compétences avant de postuler. Ils sont généralement à un moment de leur vie où les choses sont plus claires pour eux. Leur mantra, c’est JE VEUX, pas JE VAIS faire ça », analyse-t-il.
Yvonne, vient de signer son CDI et confirme les propos de son recruteur : « Je rêvais depuis plusieurs années d’exercer ce métier, mais étant originaire d’Ukraine, je parlais très mal le français à mon arrivée en France. J’ai donc travaillé dans le commerce sans perdre de vue mon objectif. Je me formais même en solo, à la maison, sur Internet, pour découvrir, tester… Alors quand, à la faveur d’un licenciement économique, j’ai eu l’opportunité de me former, je n’ai pas hésité longtemps ! C’est un peu étrange, mais dès le premier jour chez ifocop, je savais qu’on me parlait de mon futur métier. L’approche a été aussi très directe avec M. ASFOURI. C’est lui qui m’a « chassée » sur LinkedIn. Lors de l’entretien, je lui ai directement expliqué mon ambition. Je n’étais pas là seulement pour saisir des variables, mais pour façonner une expertise, pour œuvrer utilement. On m’a confié des dossiers dès le début de ma période d’immersion en entreprise. Et aujourd’hui après 1 an d, j’ai sous ma responsabilité dix clients et 300 paies ! »
Ce témoignage recruteur-recruté montre clairement qu’une reconversion s’inscrit dans une relation plurielle. L’approche du recruteur trouvant par ailleurs sa source dans le propre parcours d’Hamza ASFOURI. « J’ai été alternant pendant mes études. Avec un pied dans l’entreprise, j’ai très vite travaillé sur des sujets stratégiques. On m’a fait confiance, je fais confiance à mon tour. », résume-t-il.
Historiquement, on a de très bons retours d’ifocop. L’une de mes Responsables de paie est même une ancienne d’ifocop ! Dans la paie, c’est vraiment une référence. La qualité de ses intervenants n’y est pas étrangère… Les apprenants sont heureux qu’on leur explique la finalité des choses. Cela fait toute la différence ». Et de préciser sa stratégie de recrutement. « Je préfère de loin recruter des stagiaires que des professionnels expérimentés pour avoir l’opportunité de les former. Pour eux comme pour moi, c’est un pari sur l’avenir : 100% des stagiaires qu’on a embauchés, on leur a proposé un emploi en CDI. »
La référence ifocop
Pour Hamza, la période d’application pratique prévue dans le modèle ifocop n’est pas une période d’essai déguisée, mais un temps d’apprentissage mutuel. -> Pour Hamza, la période d’application pratique prévue dans le modèle ifocop n’est pas une période d’essai déguisée, mais un temps d’apprentissage mutuel au cours duquel on investit dans un besoin en compétences. « Le stage valide le choix du candidat. Et nous, on prend le temps de bien former la personne à nos process. » Car les spécificités d’ActivPayroll sont réelles. « Notre particularité, étant donné que nous avons des clients internationaux, c’est qu’on leur doit une standardisation des rapports de paie selon les pays : Allemagne, USA, Singapour… Chacun a ses formats. La difficulté, c’est d’homogénéiser par rapport aux cabinets français traditionnels. Même une personne qui a 4 à 6 ans d’expérience en paie ailleurs est considérée comme junior chez nous. », insiste Hamza.
Dans ce contexte exigeant, la collaboration avec ifocop s’est imposée comme une évidence. « Historiquement, on a de très bons retours d’ifocop. L’une de mes Responsables de paie est même une ancienne d’ifocop ! Dans la paie, c’est vraiment une référence. La qualité de ses intervenants n’y est pas étrangère… Les apprenants sont heureux qu’on leur explique la finalité des choses. Cela fait toute la différence ».
L’expérience Yvonne et Massicilia
L’accueil d’Yvonne et Massicilia, toutes deux issues de la formation Gestionnaire de paie d’ifocop, a confirmé ses convictions. « Yvonne était dans la vente auparavant, presque 20 ans dans ce secteur. Elle est ultra-motivée et volontaire, elle a une vraie soif d’apprendre. Massicilia, elle était Coordinatrice pédagogique RH & Qualité dans le secteur de la formation, elle recherchait de la pure technique. Structurée et réfléchie, elle apprend vite. Les deux sont devenues, à leur manière, avec leur propre personnalité, de véritables atouts au sein de notre équipe. »
Leur intégration s’est faite selon un programme interne de formation complet. « Découverte des outils, des process, des modes opératoires… On nous déroule littéralement le tapis rouge du début jusqu’à la fin car à la différence des plus gros cabinets mondiaux, on n’est pas spécialisés dans une tâche de paie. Nous, c’est du début jusqu’à la fin et on nous le dit clairement : ici chacun est responsable de son travail », réagit Massicilia. Elle, a été recrutée en février dernier à l’issue de sa période d’application pratique prévue dans la formation Gestionnaire de paie (format distanciel) et ne regrette pas son choix. « Je souhaitais me perfectionner, continuer d’explorer les sciences RH sur leur segment le plus technique, c’est clairement ce qu’on me propose ici avec, en plus, une montée en charge progressive qui donne confiance, qui pousse à s’améliorer en continu », précise la jeune femme.
Cap sur l’avenir
De son point de vue comme de celui d’Hamza, l’expérience ifocop s’est révélée enrichissante. « Quelqu’un qui vient avec un regard neuf nous apportera forcément quelque chose. Avec l’arrivée de Massicilia, l’un de nos Gestionnaires de paie s’est même découvert une appétence pour le tutorat ! », conclut Hamza. Avec une vingtaine de collaborateurs en France aujourd’hui, l’objectif pour ActivPayroll est ambitieux : doubler les effectifs sous 2 à 3 ans.
Place aux futurs talents ! Votre entreprise est à la recherche d’un nouveau talent ? Accueillez un apprenant ifocop !