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Témoignages et avis

Assistant(e) Commercial(e) : la formation qui donne des ailes

Publié le 9 février 2021 - Mis à jour le 5 décembre 2023

En se formant avec ifocop, Johanna a non seulement acquis les compétences essentielles à son nouveau métier, assistante commerciale, mais elle a aussi (et surtout) gagné la toute petite chose qui lui manquait encore pour réaliser son rêve d’exercer en tant qu’indépendante : la confiance en elle et en sa capacité d’entreprendre. Rencontre avec une jeune femme au TAQUET !

C’est du côté du Val d’Oise (95) que nous retrouvons aujourd’hui Johanna, jeune femme dynamique de 32 ans, passée par ifocop, le temps d’une formation d’un an sur le rythme de l’alternance. Depuis diplômée de la formation Assistant(e) Commercial(e), elle se réjouit d’avoir engagé la voie de la reconversion professionnelle qui lui permettra, cette année, d’entreprendre le projet qui trainait dans un coin de sa tête depuis plusieurs années déjà : être son propre patron grâce à l’exercice libéral.

 

Mais commençons par le commencement. Auparavant en poste dans le milieu de l’esthétique, et disposant également d’un bagage en tant qu’animatrice pour jeunes enfants, Johanna a multiplié les expériences et tiré à chaque fois les mêmes conclusions : le contact humain, l’échange, est un élément clé de son épanouissement professionnel. Mais il lui reste encore à trouver un secteur où se sentir 100% à l’aise. Elle envisage le secrétariat, se forme à l’accueil clientèle avec l’aide d’un organisme parisien, mais déchante vite. « Passer ma journée au bureau, sans jamais aucun autre échange avec la clientèle que les e-mails et le téléphone, j’ai réalisé que ce n’était pas pour moi. Je m’étais trompée », explique-t-elle. Qu’à cela ne tienne, elle entreprend la quête d’une nouvelle formation qui concilie ses deux exigences : un métier humain et de terrain. Elle choisit alors ifocop, séduite par la formule « contrat pro » et son rythme en alternance. Elle partagera ainsi son temps entre le centre ifocop de Paris 11 et son entreprise d’accueil, une T.P.E. spécialiste du traitement du verre (découpe, etc.), NDS Verres.

Une année qu’elle qualifie d’ « intense », mais dont elle se souvient de la grande richesse : « J’ai appris à maîtriser les logiciels de bureautique, à éditer des devis, des factures, à développer un discours commercial et 1001 autres choses très utiles. Du côté de la formation comme de celui de l’entreprise, c’est très complet », estime-t-elle. La sécurité conférée par le contrat de professionnalisation (recevoir un salaire, cotiser pour Pôle Emploi, pour la retraite…) lui permet par ailleurs d’assurer un revenu minimum « pour ne dépendre de personne le temps de son cursus ».

 

 Cette formation m’a ouvert les yeux et donné confiance en moi. Je n’ai plus peur d’essayer.

 

Et l’indépendance, le voilà son troisième critère. Elle s’imaginait en entreprise, elle se rêve maintenant en autoentreprise. « Je souhaite proposer mes services en tant que freelance. Pourquoi pas dans l’univers des cosmétiques, pour une marque ou un secteur d’activité qui m’inspire ? Je ne m’interdis rien. Cette formation, ainsi que les encouragements reçus par mon employeur (lui-même indépendant assumé !) pendant le temps de mon immersion m’ont ouvert les yeux et donné confiance en moi. Je n’ai plus peur d’essayer. Je n’en suis qu’au début de mon projet, mais il va prendre forme dans les prochaines semaines. J’ai juste un peu la pression parce qu’une ancienne apprenante, avec qui je suis restée en contact, m’a indiqué qu’elle m’observait de loin pour voir si ça marchait et ensuite peut-être se lancer à son tour… Bref, j’ai intérêt à assurer ! », s’amuse Johanna, qui a souhaité profiter de notre rencontre pour saluer les équipes pédagogiques « pour leur capacité non pas à nous écouter, mais à nous entendre » et leur dire toute sa gratitude. Ne nous reste plus qu’à souhaiter à Johanna tout le succès qu’elle mérite.

 

Son conseil pour les futurs apprenants :

« Pour exercer ce métier, je suis convaincue qu’il faut profondément aimer les gens, aimer échanger avec eux. Et toujours garder en tête qu’on représente l’entreprise, même quand on sert de punching-ball face à un client mécontent. Être assistant(e) commercial(e), c’est être à la croisée des chemins : patrons, collaborateurs, clients, on échange avec tout le monde sur tellement de sujets… Il ne faut donc pas être timide. J’ajouterais qu’il faut aussi savoir garder la tête froide. Le savoir-être compte tout autant que le savoir-faire. ».

 

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